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Dorphé — un univers où la chanson devient image et lumière devient musique.

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Transition

Ce mini EP est un fragment intime de mon univers. Chaque morceau explore un état intérieur, une sensation suspendue entre lumière et tension. C’est une musique qui ne s’explique pas, elle se ressent : un espace pour écouter autrement, pour se laisser traverser. Avec le titre Elle vient, j'ouvre un nouveau chapitre, c'est la renaissance d'un univers musical.

Un voyage entre électro organique, rock cinématographique et poésie scénique.

 

Danse encore un peu pour moi, une chanson charnière entre deux univers. Composée et interprétée aux côtés de deux membres des Mauvaises têtes et du bassiste international Zied Lakoud, cette création marque la fin d’un cycle et le début d’un autre.

 

Collaboration : Zied Lakoud (basse), membres des Mauvaises têtes (Antoine Pezé, Étienne Glazer, Patrick Villeneuve), Bob Olivier, Guy Kaye, (Studio Mixart - Montréal), Fernando Collazo du Blind Spot Studio.

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Elle vient

Tourné durant la même période que Danse encore pour moi, ce clip s’interroge sur la place de l’interprète à l’écran.
Devais-je apparaître ? Me mettre en scène ? Ou au contraire laisser toute la lumière à la femme évoquée dans le texte ?
J’ai choisi l’effacement : ma présence aurait alourdi le propos et fait ombrage à la figure féminine, centrale et libre.
L’image devient alors la réponse à la chanson — une célébration du mystère et de la force du féminin, sans filtre ni médiation.

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Danse encore un peu pour moi

Réalisé dans le prolongement d’Elle vient, Danse encore pour moi se voulait un laboratoire de recherche visuelle et émotionnelle.
Je cherchais une voie, un sens, un équilibre entre le mouvement et la mémoire.

Ce clip s’inscrit dans le projet de l’album Transition, comme une étape entre deux mondes : celui de la scène et celui du rêve, de l’instinct et de la réflexion, de la lumière, du rythme et de la chorégraphie.
Un espace d’expérimentation où l’image danse avec l’idée même de transformation.

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Ici, ailleurs et nulle part.
 
Diffusion : 90 radios dans 27 pays, 11 shows et festivals.

La brise 

Tourné en deux soirs, juste avant le confinement, le clip La brise capture cette étrange impression d’entre-deux : un monde encore libre, déjà suspendu. Chaque musicien y apparaît dans son propre cadre, côte à côte des autres, comme une prémonition de la distance à venir.

L’idée du tournage dans un monte-charge vient d’un concept que j’avais développé pour le groupe rock québécois Les Respectables.
L’essai réalisé avec le chanteur Sébastien Plante avait été concluant, mais le projet n’a jamais vu le jour.

J’ai alors repris cette idée — ce lieu clos, brut, industriel — pour en faire le cœur visuel de La brise : un espace confiné où la musique devient notre respiration commune.

Claire

Après le confinement, j’ai voulu retrouver l’extérieur, la lumière naturelle, l’air libre. Pour des raisons de logistique, le tournage s’est fait seul, sans musiciens — ceux de ma formation Les Mauvaises Têtes.
Le clip garde pourtant leur empreinte : un graffiti sur le mur, trace de ce collectif qui m’accompagne encore dans la mémoire du geste.

Le tournage s’est déroulé en deux temps : une première session avec un artiste graffeur, filmé en stop motion, puis une seconde, captée en deux heures seulement, avec Fernando Collazzo du Blind Spot Studio à la caméra. Le résultat : un dialogue entre mouvement, trace et respiration — une façon de peindre la liberté retrouvée.

De l'éther dans les étoiles

L’inspiration du clip est née de l’imagerie du Petit Prince de Saint-Exupéry et du cinéma de Georges Méliès, pour ses effets spéciaux et sa poésie visuelle. J’ai eu la chance de collaborer avec René Bazinet, artiste du Cirque du Soleil et l’un des plus grands mimes et clowns de notre monde, qui a accepté d’incarner le rôle principal aux côtés d’une jeune danseuse. Je voulais traduire en images l’élévation des sentiments, la légèreté des astres, la présence de la lune.
Derrière cette poésie s’est caché un véritable défi : tout a été tourné sur fond vert pendant cinq jours, après une importante phase de préproduction. Chaque musicien a été filmé séparément, puis intégré seul ou en groupe en post-production, donnant vie à un univers suspendu entre rêve, mouvement et lumière.

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Comme toi

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Blind spot
 
Diffusion : Web - Live session studio.

Le projet Blind Spot est né du désir de capturer la musique dans sa forme la plus directe, sans artifice.
Plutôt que de retourner en studio, j’ai choisi la captation vidéo live : l’instant présent, la fragilité du moment.
Une seule journée de tournage, six chansons, trois prises par titre — à l’aveugle, à l’instinct.

Réalisée avec les membres du collectif Les Mauvaises Têtes, que j’ai fondé, cette session explore la tension entre spontanéité et justesse, entre lumière et sincérité.
Les enregistrements témoignent de cette approche brute et vivante : jouer ensemble, sans correction, dans la proximité du réel.
On y découvre un titre inédit, ainsi que des morceaux revisités — Claire et Qu’est-ce que ça fait — sous un autre éclairage, plus intime et organique.

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Session 1

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Session 2

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L'autre côté du ciel

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L'autre côté du ciel

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Dors bien

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Dans ton monde

14 Shows et finaliste au festival Emergenza, 1 émission TV, 1 radio.

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Quelques futurs

Tourné en une après-midi, le clip Quelques futurs met en scène de jeunes adolescents et préadolescents, symboles des générations à venir, directement concernées par l’avenir de notre monde.
J’ai imaginé et conçu le personnage à la tête de marionnette géante pour incarner cette idée d’un individu dont les gestes et le destin sont partiellement dirigés d’en haut — par des systèmes qui tirent les ficelles, souvent dès l’enfance.

Le tournage a été rapide et instinctif : deux heures pour filmer les jeunes, puis deux autres pour les plans où je porte moi-même le costume et la tête de la marionnette. Cette figure étrange, à la fois poétique et troublante, traduit la tension entre innocence, contrôle et espoir — ce fragile équilibre qui façonne nos futurs possibles.

Qu'est-ce que ça fait ?

Premier clip tourné, et avec un budget inexistant — tout l’argent ayant été consacré aux enregistrements. J’étais alors étudiant en design, et c’est dans ce contexte que m’est venue l’idée d’un clip inspiré du Pop Art, de la consommation et de ses excès.
Je voulais aborder la surconsommation comme un jeu d’apparences : coloré, ironique, parfois absurde — un peu comme un prélude inconscient à Quelques futurs.

Le clip interroge notre rapport au désir et au libre arbitre :
faut-il consommer tout ce qu’on nous vend, ou croyons-nous simplement être libres de nos choix ? Le texte joue volontairement l’ironie du “je m’en fous” — une manière de révéler l’engourdissement collectif face à la saturation du monde. Visuellement, je voulais que ce soit extravagant, presque carnavalesque : les excès s’y côtoient, les contes de fées y sont détournés. Un miroir déformant de notre époque — drôle, criard, et pourtant profondément humain.

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